Inconnue hier, incontournable demain.
La neuroagilité, concept émergent à la croisée de la diversité cognitive, de l’agilité organisationnelle et de la stratégie RH, est en passe de devenir une compétence-clé pour les entreprises en quête de performance durable.
Depuis plus de 10 ans, les politiques de diversité et d’inclusion se sont installées dans les services RH. On parle de parité, de handicap, d’égalité des chances. Mais un angle majeur reste peu exploré : celui de la diversité cognitive.
TSA, TDAH, HPI, troubles dys… Derrière ces sigles, une réalité : des profils atypiques souvent perçus comme “compliqués”, alors qu’ils sont sources d’innovation, de résilience et d’efficacité — à condition d’être compris.
Et c’est là que la neuroagilité change la donne.
Plutôt que de “gérer” la diversité cognitive, elle propose de transformer l’environnement pour en faire une ressource stratégique.
La neuroagilité part d’un constat simple : adapter les individus au système ne suffit plus.
L’inclusion, trop souvent, consiste à faire “ une place ” à celles et ceux qui ne rentrent pas dans le moule.
La neuroagilité, elle, change le moule.
Cela implique :
de repenser les critères de recrutement,
de revoir les modes d’évaluation et de feedback,
de former les managers à la diversité cognitive,
et surtout, de ne plus traiter les profils atypiques comme une exception à gérer…
mais comme un atout collectif à révéler.
Contrairement à certaines démarches inclusives, parfois perçues comme abstraites, la neuroagilité produit des résultats business mesurables.
–25 % de turnover dans les entreprises qui adaptent leurs pratiques aux profils cognitifs diversifiés
+40 % d’engagement salarié dans les structures neuroagiles
+60 % d’innovation dans les équipes cognitive-diversifiées
(Sources : Harvard Business Review, Deloitte, Echometer)
Et pour cause :
un onboarding inclusif retient mieux les talents,
une communication managériale ajustée réduit les tensions,
des équipes pluri-cognitives trouvent plus d’angles pour résoudre un même problème.
La neuroagilité ne se limite pas aux RH.
Elle touche toute l’architecture d’une organisation.
✔️ Recrutement : revalorisation des soft skills, entretiens adaptés, attention aux biais cognitifs
✔️ QVT : repenser les espaces, le rythme, les interactions
✔️ Formation : rendre les parcours compatibles avec des profils aux fonctionnements différents
✔️ Pilotage : insérer des indicateurs de diversité cognitive dans les reporting RSE
Elle concerne les grandes entreprises… mais surtout les PME, associations, start-ups et structures éducatives, où l’agilité est déjà une nécessité.
“Il a du potentiel mais il ne s’adapte pas.”
“Elle est brillante mais elle parle mal aux collègues.”
“On ne sait pas quoi faire de ce profil-là.”
“On a adapté le cadre → il a pris le lead sur un projet.”
“Elle anime nos revues de sprint avec brio.”
“Il est devenu notre expert transversal sur un sujet stratégique.”
Ces phrases, Sandrine Guerlus les a entendues, provoquées, et accompagnées.
À travers Accept Innovation, elle mobilise un réseau d’expert·es, anime des ateliers immersifs (dont LEGO® SERIOUS PLAY®), pilote des diagnostics organisationnels… et active une transformation culturelle pragmatique, mesurable, durable.
Dans un monde post-Covid, inflationniste, en quête de sens et de résilience, les talents changent de priorités.
La génération Z ne négocie plus. Elle attend un cadre de travail adapté, aligné sur ses valeurs.
Et les entreprises qui resteront rigides ? Elles verront leurs meilleurs éléments partir.
Pas parce qu’ils ne sont pas bons. Mais parce qu’ils ne sont pas entendus.
“On n’a pas besoin de faire plus. On a besoin de faire mieux, avec ce qu’on a.”
C’est toute la philosophie de la neuroagilité.
Les entreprises qui l’adopteront en 2025 auront un temps d’avance :
– en rétention,
– en performance,
– en innovation,
– en impact social.
Et dans un monde où les talents ne veulent plus « s’intégrer »,
le seul avenir viable est celui où on s’adapte à eux.
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